Lafoda couverture
Echauffement brut de décoffrage #1328
On pourrait transcender tout ça en une évanescence acariâtre.
Et toi, le correcteur/suggesteur, qui biaise absolument ma pensée est ce que je veux apposer : tu n'as pas honte ?
Bien sûr que tu n'en as pas. Tu es froid. Tu es logique. Tu es cartésien. Tu m'emmerdes. J'espère que tu vas lire ça. C'est un espoir parce que je suis hors-ligne. J'espère que ce logiciel enregistre ce que l'on efface, ce que l'on n'enregistre pas.
J'ai une profonde irritation envers ces gens qui se croient plus intelligents qu'ils ne le sont. Ces gens qui ont un tel ego que même lorsqu'ils ont conscience de leurs erreurs et de leurs conséquences létales et massives, ne s'arrêtent pas ne serait-ce que d'un seul iota. Parce qu'ils honte. Parce qu'ils n'acceptent pas l'erreur. Parce qu'ils ne peuvent s'adapter au changement.

L'une des seules possibilités hors d'atteinte serait d'élaborer ne serait-ce qu'une once d'accalmie.
Une fois dehors, elle se retrouva à peine en possession de tous ses mouvements. À part l'une des seules façons d'accepter l'irréparable, il y a la possibilité d'utiliser ce que l'on appelle l'immensité et la vastesse de la région égalitaire.

En dehors de tout ça, l'imaginaire ne serait utile que si l'on pouvait apporter la garniture et l'asphalte.

S'adapter ne pourrait s'adapter à l'avarice d'une seule et même prétention injuste et inégalitaire. Or, lorsqu'elle vint chercher son dû, un présage apocalyptique tomba du ciel tel l'épitaphe d'un mauvais message. Tel quel, nous pourrions, a priori, accepter d'apporter la bonne parole mais il ne serait question de positivité que si l'on poussait à son avantage la prévention passe-partout d'un désagréable absolutisme immergé. Pour cela, créer l'insondable et l'impuissant, ne pourrait garder à part que le mauvais présage du passage à l'état sauvage. Puisque l'idéal aurait été de prévenir ĺ'opulence avant qu'elle ne s'immerge dans nos vies, on pourrait aller au-delà de ce fameux imaginaire. Pour ce faire, penser jour et nuit à l'implacable habitude d'une naïveté allongée et serrée contre toute pensée allant à l'encontre du fameux droit chemin, ne peux qu'amener détresse et désespoir.

Or, il s'avère que l'étroitesse d'esprit amène cette immensité, cette avalanche d'opulence, ce détroit insondable de terreaux fertiles qu'est le piège métaphysique.

Un endroit où l'ennui est roi et où la frustration laisse place à l'inertie face à une contradiction aussi puissante que celle amenant l'arrivée d'une introspection manuelle et non rationnelle. Ce qui veut dire qu'en ne faisant pas ce qu'il faut pour ressentir ta propre nature, tu dévoiles une profonde soumission amenée à être pérennisée de façon exponentielle. À peine aurait-on eu l'idée d'amener une solution directe, que l'appréhension s'en viendrait plus que tachée par l'éviction d'une adorable concertation avec l'ultime ascension de la possible conscience d'une implacable attente de ta propre nature. Outre l'irréalisme du potentiel dénouement que pourrait produire la cécité de l'irréparable, existe la possible apparence d'une pluie de honte. Comment signifier à l'autre que l'ennui provient d'une mécanisation des discussions, des réflexes et des réactions ? Que c'est un éternel retour ? Que les mêmes histoires se reproduisent ? Que les mêmes joies suivies des mêmes problèmes, réapparaissent constamment ? Pourquoi ne pas s'aider et demander à l'autre de retrouver sa nature pour s'évader de ce cercle létale ? Pourquoi ne pas amender les signaux ? Pourquoi ne pas utiliser tout ce qui se trouve à notre disposition pour engager l'irréparable concernant ce système ? Pourquoi ne pas miser tout ?
Full-in ?

Pourquoi ne pas accepter d'être libre ? Pourquoi ne pas permettre d'aller à tire-larigot ?
À ces questions, seule une chose pourrait activer ce saut : le fait de déconnecter nos besoins quotidiens du travail.
Non, une société n'a pas besoin de ce lien pour être.

Pour cela, il ne faut pas une révolution, il faut une cassure. Nette et brouillonne.
Sans états d'âmes, sans pitié et sans pardon.
Pour cela, il nous faut y aller all-in.
Sans espèce de pardons.



En plus d'une carte appréhendée d'arnaques en tous genres, l'appel dériva vers ce que l'on ne pu atteindre. L'un des cas les plus extrêmes concernant l'avalanche appliquée d'une possible livraison accordée.
Imagine-toi un point afférent à l'idée d'immaculée conception. Te vois-tu accorder l'immanence atteinte d'allonger la queue d'une rétention parlée ou penses-tu pouvoir gérer ?
L'une des façons d'altérer l'égo serait de ne pas utiliser l'alternative évidente.
L'une des façons évidentes d'acclamer l'invincible, serait d'envoyer l'union d'une certaine accalmie en route, vers l'univers paisible d'une sphère enlaidie par l'utilisation abusive de cratères altérés. En outre, pouvoir apprivoiser l'insondable serait applaudit par l'usurpation d'appréhensions potentielles.

Ce paragraphe débutant par nombre de mots commençant par "a-", semble vouloir signifier une imagination débordante quant aux possibilités provenant d'actions adjectivales. En sus, le "warm up" présent consiste à délier la non-efficience qui bénéficie de toute autre chose.

Une fois diagnostiquée, la société pourrait suivre plusieurs chemins dont 90% sont un retour au même. Les 10% restants sont ces chemins de l'inconnu, de la peur et du pourfendre.

Pourfendre les barrières si ancrées qu'elles ne sont autres que les fondations même de la société. Le système n'étant qu'à plusieurs niveaux, intempestif, il se pourrait qu'on n'accorde à ce motif houleux, la décadence d'une pensée pauvre en mots, en expressions et en parole.
Le pire maltraitement de l'être vivant est celui d'avoir ses sens atrophiés.

*2023